• SANGATTE? LE RETOUR!....BESSON ENNEMI PUBLIC NUMERO 1....RAMADAN SANS PAPIER...TABOULE AUX HARENGS...TROIS IRAKIENS RETROUVES NOYES DANS LA MANCHE, REMAKE DU GRAND BLEU?

    Gonzo: Sans Papiers

     

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  • LA KRONIQUE TA MERE

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    ouDe nombreux experts se sont penchés un jour sur cette question qui, de tout temps (jusqu'à aujourd'hui du moins) resta sans réponse.
    La société n'est jusqu'alors parvenue qu'à nous offrir des dérivatifs divertissants et cela jusqu'au plus profond de l'Afrique, tel que : la guerre, la famine, le sida et TF1, tout cela afin de se dédouaner d'apporter une réponse à la question la plus existentielle de ces deux derniers millénaires : « Pourquoi les cons existent-ils ? »
    A l'instar d'un enfant qui demanderait un renseignement que l'on refusait de lui fournir, nous avons vécu, nous citoyens, les deux alternatives qu'un bon père de famille ou, dans le cas qui nous intéresse, le gouvernement ont trouvé pour se défiler. En guise de la glace au chocolat, nos dirigeants nous ont distribué des congés et pour ce qui est de la non moins efficace baffe dans la gueule, nous avons gagné des crises économiques, la vignette (abolie depuis peu), la hausse du prix du tabac et l'ANPE.
    Alors à cette grande question, quelle réponse ?
    Nous savons que la pauvreté nous vient des Juifs qui ont cru bon de tout se récupérer, pécuniairement parlant s'entend ; et les maladies, d'Afrique. Cependant, les cons viennent d'ici, d'Europe et le plus grand nombre, de France.
    Leur apparition s'explique avec facilité : il fallait donner de l'importance aux nobles et aux riches (ce n'étaient pas toujours les mêmes), alors on leur procurait un con (quand je dis « on » je veux parler de leurs proches amis ou encore de leur femme). Ces derniers, les cons donc, se ridiculisaient sans discontinu et parfois se faisaient battre lorsqu'ils allaient trop loin. Les propriétaires des ces cons se régalaient et se sentaient très vite d'une rare intelligence. L'existence de cette minorité (contrairement à bien d'autres) était souhaitable.
    Cependant comment expliquer qu'il existe toujours des cons, alors que la noblesse et les privilèges ont été officiellement abolis ?
    Et bien une fois de plus et cela est malheureux, c'est très simple : le manque de vigilance et le laxisme de certains. Les cons avaient commencé à se reproduire du temps de la noblesse, on n'aurait jamais dû tolérer une chose pareille (et quand je dis « on », je parle de vos grands parents) mais les nobles étaient ravis, ils pouvaient à leur aise faire cadeaux du surplus à leurs plus influents amis ou même les vendre aux autres. Comme les cons n'avaient de cesse de se reproduire, rapidement ils devinrent majoritaires. Leur puissance ne fit que s'accroître avec le temps et maintenant, maintenant vous l'ignorez sûrement mais ils détiennent les plus hautes responsabilités administratives et les plus grands pouvoirs.
    Les cons nous gouvernent, les cons vont nous tuer.
    Alors en route, formez des escadrons de lutte anti-cons et partez détruire les cons du monde entier. Je ne pourrai pas vous aider malheureusement, je m'occupe déjà de mon voisin et c'est un coriace.
    Bonne chance à vous frères intelligents.

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  • "Boycottons les critiques professionnels"
     

     

     

     

     

     

     

     

    Il n'y a rien, au monde, de plus méprisable qu'une critique (ce n'est pas forcément une femme d'ailleurs), aussi en voilà une, de critique, à propos de cette dernière (à savoir la critique en général ou en soldat, tout dépend de votre ambition dans la vie).
    Mesdames et messieurs les critiques, disparaissez. Ou alors, si vraiment vous ne pouvez pas faire autrement (faute de moyens, on le comprendra suivant l'endroit où vous travaillez), mettez tout en ½uvre (ne voyez aucune moquerie de ma part du fait de mon emploi du mot « ½uvre » dans une phrase qui vous touche directement) pour ne pas laisser de traces ou de descendances derrière vous.
    Pourquoi une telle haine des critiques me demandez-vous ? (Je vous en prie j'ai été plus qu'urbain jusqu'ici. Vous répondrai-je) Je regrette mais ce n'est pas de la haine, seulement une véritable énigme pour moi. Ces gens représentent l'un des derniers mystère de la science. Ecoutez plutôt :
    Nos anthropologues et sociologues les plus éminents nous ont apprit la notion d'évolution. Prenez le poil (celui que vous avez dans la main ou n'importe quel autre fera l'affaire). Jadis encore, il était fort en vogue chez nos ancêtres les singes. Aujourd'hui, à l'exception de quelques nationalités et de moi-même, l'humain en est nettement moins pourvu. Pourquoi ? Parce que son pelage ne lui sert plus à rien, sauf bien entendu à connaître de sens du vent. Bien. Le poil n'étant plus utile, l'évolution l'a fait disparaître (du moins en grande partie sinon personne ne saurait plus faire décoller un cerf-volant). Pareil pour les bisons. L'évolution a vu que l'homme en avait assez de tuer cet animal donc elle l'a écarté de nos pâturages.
    Maintenant que vous avez repris connaissance des plus importantes mutations dont notre chère et tendre Terre a été témoin, examinons le cas du critique. Comment expliquer qu'il existe toujours actuellement et plus déconcertant encore, comment se fait-il qu'il soit apparut ? C'est évidemment une question rhétorique, je n'ai pas l'intention de donner une réponse puisque je n'en ai aucune. On pourrait croire que la comparaison critique-poil est un tantinet tiré par les cheveux mais pas du tout.
    Que savons-nous du poil ? Plus on le coupe et plus il repousse, dru de surcroît. Et bien le critique lui, n'a pas besoin d'être rasé pour repousser, les limites de la connerie. De plus le critique est dur ce qui lui fait un point commun de plus avec le poil qui, se fortifie au fil des rasages. Enfin, et là tout le monde sera d'accord ; malgré l'évolution, nous avons des poils sur les pieds. Cela est disgracieux. Sachez que le critique lui aussi est sur un pied, d'estale (je ne sais plus très bien dans quelle région vivent les Estales, il me semble que c'est entre Besançon et La nouvelle Calédonie). Ce simple exemple aurait suffit à lui seul pour ranger définitivement le critique parmi les poils. A partir de là, si un poil sur le pied est disgracieux, que le critique est un poil sur un pied, le critique est disgracieux. Et poussons le syllogisme un peu plus loin : le critique est disgracieux, je fais une critique donc je suis disgracieux. Voilà.
    C'est pourquoi il nous faut nous épiler les pieds et boycotter les critiques car, en aucune façon ils n'ont à exercer leur tyrannie sur les pieds de ces pauvres Estales, peuple faible et arriéré certes mais non moins respectable.  


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  • "Millenium Rance"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    :::La fin d'une décennie signale inexorablement l'heure du bilan : une réaction violente et réac dans un début de millénaire tiède, peu riche en nouveaux talents. Un début de siècle qui n'a rien connu de fédérateur dans le domaine de la musique comme celui du cinéma, faute à un éparpillement dû aux nombreux artistes et la mise en lumière d'une minorité pas toujours reluisante. Une décennie artificielle, référencé, cynique et ironique qui ne s'est pas trouvé en regardant de trop dans le rétro:::

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  • Un regardNous sommes le mercredi quatre mars 2009.


    Je suis passé à la fac ce matin. J'y passe régulièrement ces derniers jours. Après l'occupation, le blocage. Que se passe-t-il dans leur tête, que souhaitent-ils au final? Je regarde la foule fatiguée qui n'a que peu de pep's face au froid. Seulement, une personne veut rentrer. Directement des gens se ruent sur lui. Est-ce la fatigue, l'éducation ou la recherche d'identité qui en assoiffe certains de violence. Face à cela, je vois plus de haine que de convictions pour un mieux. Y-a-t-il une idéologie derrière leurs attitudes, et laquelle? Je ne comprends pas grand chose. Je ne m'identifie pas à la foule même si je défends leurs critiques. Je ne me sens pas de légitimité de toute manière pour m'inscrire réellement dans leur « unité ». Ils n'en ont pas, c'est d'ailleurs leur problème. Je scrute les gens. J'entends les bribes de conversations. Un jeune homme de la sécurité incendie engrène son collègue pour faire monter la pression. Le collègue en question ne rentre pas dans le jeu. Il n'est pas belliqueux. L'autre, on m'en a parlé il y a quelques jours. Il aurait castagne un étudiant l'an passé dans le même contexte. Il y a des étudiants qui ont soif de casser tout et n'importe qui. Il faut que ça pète. Un nihilisme assez triste à l'orée de la vie. D'autres encore ont des convictions, savent ce qu'ils foutent ici. Certains ont même une assez grande connaissance des codes de ce genre de climat. Et puis il y en a qui zonent, ne savent pas ce qu'ils sont mais suivront en partie. Face à cela pour l'instant, aucune force de l'ordre. Mais il y a déjà des réticents. Quelques étudiants s'énervant; ils sont d'ailleurs à la base des dérapages; qui veulent à tout prix leurs cours ne comprennent pas ce qui se passe. La plupart se plaindront d'ici quelques années du monde dans lequel ils vivent. Mais sans engagement. Je suis assez triste, sans être surpris, de regarder cette désorganisation vide de sens. Le combat doit avoir lieu. Il faut s'opposer à tout ce que propose le gouvernement pour détruire le semblant d'égalité en construction depuis longtemps. Cette réforme ne vaut rien, et ce sont ces réformes et leur programme qui sont à dénoncer. Personne ne s'unit. Trois manifs et j'ai à peine vu l'ombre du corps enseignant. Ils ne viennent même pas dialoguer avec les étudiants sur le campus ni même les aider à mettre en ½uvre leurs projets. C'est pourtant ça l'éducation: transmettre le savoir. Peut-être faut-il tout leur dire à eux aussi? Peut-être ont-ils besoin d'un programme, d'un ordre. Agir sous l'ordre et la contrainte! Pourtant les professeurs dénoncent aussi la manière dont se fait l'enseignement mais ils n'y changent rien au jour le jour. C'est au quotidien que l'on affirme nos valeurs. La désorganisation, c'est la manière dont tout se passe ici. Il y eut 10 000 ans plus tard. Quelques jeunes s'investissent et tentent. Toujours les mêmes. Il n'est pas évident de partir comme ça sur le chemin de bataille, avec une horde fixe qui ne s'inscrit pas vraiment là-dedans. Pourquoi les étudiants n'ont pas exploités ce collectif, amenés leurs idées...
    Au final, au bout de quelques semaines, rien ne se fait vraiment, tout au dernier moment. Avec le nombre d'étudiants et les différentes filières, il y a moyen de proposer de nombreux temps d'échanges riches et variés. Mais qu'en est-il? Hier, moment du repas, le soir, après quelques images des informations télévisées, on passe des vidéos de manifs violentes avec des musiques psychédéliques en fond. Une soif de violence de la part de certains et l'envie de la propager au plus grand nombre. Y-a-t-il un rêve? Ont-ils un rêve? Je veux dire, vraiment! Il est si facile d'être ANTI. Soyez, soyons POUR notre monde et contre le leur. Dessinons le notre pour pouvoir mieux contrer leurs attaques. Tout semble vide derrière ces quelques actes que certains aiment par dessus tout qualifier de RÉVOLUTIONNAIRES. Mais je sais qu'au plus profond, il y a vraiment des idéaux qui les animent mais que le contexte dans lequel nous grandissons nous amène à focaliser sur les idées noires. Pendant ce temps là, on dit là-haut que « ça ne se voit pas », comme s'il n'y avait aucun problème de société. Pendant ce temps là, papa cherche du travail, maman essaye de faire les courses, les pairs payent leurs études (dites gratuites), et des frères sont reconduits aux frontières. Pendant ce temps là, tout va bien! Les « enragés » avec parmi eux quelques r.g. et indics en tout genre apportent de l'huile sur le foyer, ça va péter et on pourra fermer nos gueules lorsqu'ils nous la mettrons profond et à sec.

    Un regard, paru dans le torchon double 6/7

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  • L'IMAGINATION au POUVOIR

    :::A la manière de l'actualité qui d'année en année se répète et met en lumière les mêmes non-évènement, le mouvement étudiant réitère les mêmes erreurs et se complait dans la répétition général d'une révolution qui n'arrivera jamais.
    Vivant sur les cendres du mythe de mai 68, il est de bon ton de bloquer sa fac pour prouver sa radicalité face au « méchant gouvernement ».
    J'y vois là le côté obscur de l'imagination, celui qui fait que l'on se ment à soit même afin d'appréhender la réalité à travers un prisme qui la transforme suivant ses propres intérêts. Car la réalité de l'étudiant, au delà du contexte politique est aussi celle d'une caste de privilégiés qui se voit octroyer des droits financier, des réductions de tout genre dont aimerais bien bénéficier ceux qui , dans la même tranche d'âge, travaillent.:::

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